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Cassandre

Projets farfelus, classes sans note, bienveillance outrancière, refus de prononcer les mots « efforts » et « mérite » donnent une mauvaise image (parfois à tort) du public.

En janvier, 2016 votre section académique mettait en ligne l’article suivant :

« L’enseignement privé appliquera le « Cheval de Troie. »

Dernièrement, nous pouvions lire dans la presse l’article suivant :

« Pourquoi le privé continue-t-il de gagner des élèves ? » (Le Parisien du 4 octobre 2017)

A la lecture de cet article, force est de constater que l’avenir nous a donné raison et nous donnera raison tant qu’une véritable politique éducative, mettant fin aux lubies des pédagogistes, n’aura pas lieu.

Projets farfelus, classes sans note, bienveillance outrancière, refus de prononcer les mots « efforts » et « mérite » donnent une mauvaise image (parfois à tort) du public.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Il faut traiter les causes et non tenter de colmater la fuite.

Angélique ADAMIK, Commissaire paritaire académique